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Déjouez les pièges de cette énigme financière : testez votre capacité à évaluer les profits !

Ce problème économique célèbre, impliquant des transactions multiples, égare même les experts. Apprenez à contourner les biais cognitifs et maîtrisez une approche rationnelle pour résoudre ce défi avec aisance et précision.

Pourquoi notre cerveau se sent dépassé par ce casse-tête

Ce genre de défi mental exploite nos biais cognitifs en brouillant la frontière entre ce qu’on dépense et ce qu’on gagne. Notre esprit a cette fâcheuse manie de se focaliser sur les chiffres qui marquent le plus et de réarranger ou simplifier les informations selon sa logique interne. Résultat ? On imagine que la deuxième transaction efface la première, ou on additionne tout sans discernement. Le secret ? Traiter chaque achat et revente comme une mini-aventure financière avec son propre début et sa propre fin.

Petite piqûre de rappel : maîtriser les mouvements d’argent

Pour ne pas perdre votre sang-froid, gardez en tête cette règle d’or : le bénéfice, c’est la différence entre ce qui entre et ce qui sort sur une opération bien distincte. Autrement dit, on ne calcule jamais un gain au moment où on achète (ça, c’est une sortie d’argent), mais seulement quand on revend (c’est là que la plus-value se concrétise). Un peu comme lorsque vous vendez un vêtement sur Vinted : tant qu’il n’est pas vendu, votre profit n’existe que dans votre tête.

Décortiquons pas à pas l’énigme de la vache

Suivons le fil de l’histoire, tranquillement :

  • Achat initial à 800 €. Pour l’instant, zéro gain, juste une somme qui quitte le portefeuille.
  • Vente à 1 000 €. Cette première boucle « investissement + revente » rapporte : 1 000 – 800 = +200 €.
  • Nouvel achat, cette fois à 1 100 €. Nouvelle dépense ; le gain n’est encore qu’une possibilité.
  • Deuxième vente à 1 300 €. Seconde opération bouclée : 1 300 – 1 100 = +200 €.

Il ne reste plus qu’à cumuler les gains de chaque épisode (uniquement ceux-là !) : 200 € + 200 € = 400 €. C’est limpide, non ? On ne fusionne pas les transactions, on ne cherche pas midi à quatorze heures, on suit sagement la chronologie : chaque vente clôt un cycle et valide la rentabilité de l’achat qui la précède.

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